Marion Dubier-Clark a réuni dans cette série ses débuts photographiques. On y retrouve son amour naissant pour l’architecture urbaine et les portraits timides.
A cette époque, après le décès de son père, elle a mobilisé la fragilité de ses émotions de jeunesse dans la photographie. Elle a retrouvé les plages de Normandie et leurs souvenirs, mais a surtout commencé son errance photographique, en France, aux États-Unis et au Portugal.
« Faire de l’insolite du beau » Hervé Le Goff